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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 10:04

Tout ce que je suis..

 

Tout ce que je touche...

 

Tout ce que j'entreprends,

 

Tout ce que je pense....

 

Prospère.....

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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 11:53
BELIER
Vous avez une bonne volonté mais ce n'est pas ce même esprit qui anime votre entourage; Faites attention à vos pas, sinon, vous risquez de vous faire pendre par quelques filets qui trainent.
mot porte bonheur: mousquetaire
objet fétiche du jour: feuilles d'acacia

TAUREAU
Malgré tous vos efforts, le divorce serait prononcé ce jour; ne vous débattez plus; vous n'avez pas pu relever le défi à vous lancé donc, vous n'avez plus aucun espoir à avoir.
mot porte bonheur: main
objet fétiche: liane de manioc

GEMEAU
Toutes les portes se ferment à vous aujourd'hui amis gémeau; vous n'avez pratiquement aucune perperstive d'avenir et cela devient effrayant!
Ce n'est guère excitant hélas et disons que c'est simplement déprimant!
courage!!!
mot porte bonheur: semaine
objet fétiche: carotte

CANCER
Vous avez de mauvaises habitudes? et alors, personne n'est parfait; ne laissez personne vous critiquer! vous avez mauvais caractère, de quoi se mêle les autres finalement?
mot porte bonheur: cerceau
objet fétiche: la mer

LION
Dépensez, dépensez, dépensez! vous êtes dans le rouge à la banque? pas de soucis; les banques sont là pour prêter et ... pas qu'aux riches s'il vous plaît! Et la misère sociale? ce n'est pas qu'à l'Etat d'y remedier.
mot porte bonheur: âge
objet fétiche: carotte

VIERGE
Vous voulez rêver? pas de problème! vous avez du retard dans votre travail? et alors; tout le monde vous dépasse, tant pis; prenez votre temps; on ne vit pas deux fois cher vierge!
mot porte bonheur: barbe
objet fétiche: miroir

BALANCE
L'instant présent est magnifique, alors pourquoi se soucier de l'avenir? on vous reproche de trop dépenser et alors? vous n'avez pas demandé à Dieu de créer des riches et des pauvres; vous pensez qu'il paliera à vos soucis d'argent et vous n'avez pas tord.
mot porte bonheur: jambe
objet fétiche: ciel

SCORPION
Vous avez des ambitions? pourquoi rêver puisque vous n'aurez jamais les moyens de les concrétiser?
Cessez de rêver! vous n'avez rien à prouver et la vie n'est pas si facile que vous le supposiez.
mot porte bonheur: enfant
objet fétiche: cancrelat

SAGITTAIRE
Vous avez de petits détails à régler; pourquoi vous stresser? prenez tout votre temps et paressez!
Le bordel, vous en êtes champion et ne vous en formalisez pas!!!
mot porte bonheur:
 poubelle
objet fétiche: linceuil

CAPRICORNE
Vous vous sentez frustré, c'est normal; il n'y a qu'à regarder l'environnement dans lequel vous vivez! trop propre! cher capricorne, vous êtes maniaque de la propriété et c'est pas bon! lâchez vous de temps en temps, ce ne serait pas pour vous faire du mal!
mot porte bonheur: layette
objet fétiche: jarre de terre

VERSEAU
Comme à votre habitude, vous vivez dans votre monde et ne voyez pas que votre entourage est prêt à exploser! Et alors, de quoi vous mêlez-vous? qu'ils explosent, finalement, ce ne peut que leur faire beaucoup de bien!
mot porte bonheur: gratte-ciel
objet fétiche: panier en osier

POISSON
Eternel inconstant, pourquoi rejetter la faute de votre indécision sur l'autre? on vous traite de dépensier? cela ne vous gêne aucunement d'être enrôlé dans ce cercle vicieux de dettes à ne pas en finir! C'est cela votre vie!
mot porte bonheur: hématome
objet fétiche: séringue
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4 août 2007 6 04 /08 /août /2007 13:15

Bonjour,
juste pour rire et se détendre


A l'entrée d'une mosquée à Lagos au Nigéria, voici ce 
qu'on remarque

MOSQUEE.jpg

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 13:19
Merci à tous les visiteurs du blog!
Je suis de près votre passage qui ne cesse d'augmenter et de hausser le niveau de mon blog
Lalouve a pris quelques jours de vacances mais elle ne dort pas!
Elle vous promet d'excellents articles dans quelques jours où pourrez lire:
- Vanity la peulhe, suite et fin
- Emy et sa métarmorphose
- Princesse malgré elle, qui est l'histoire d'une jeune fille modèle, qui est au fait une princesse originale du royaume d'Iê-Ifê
- L'amour de ma vie
Et bien d'autres articles encore qui feront votre bonheur.
Merci à tous et à bientôt!
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18 mai 2007 5 18 /05 /mai /2007 17:31
Il était une fois un petit garçon qui s’appelle Boni. Un jour, son papa voulait l’emmener chez le coiffeur mais il refusa d’y aller car il jouait avec ses amis. Alors, son papa emmena tous ses frères se coiffer sans lui. A leur retour, qu’ils étaient bien coiffés et que le lendemain à la fête, il serait le seul qui ne le sera pas. Il décida d’aller donc se coiffer ; mais il était trop tard. Le coiffeur de son papa était parti ; il alla alors chez un autre coiffeur et lui confia sa tête à coiffer ; ce dernier le coiffa très mal. Rentré chez lui, il demanda à son papa :
-         papa, ma coiffure est-elle jolie ?
-         pas du tout lui répondit son papa. Il alla vers sa maman :
-         maman, ma coiffure est-elle jolie ?
-         pas du tout mon fils.
Il demanda successivement à ses frères, à ses sœurs, à ses cousins et cousines, à son grand-papa, à sa grand-maman et tous lui confirmèrent que sa coiffure n’était pas jolie. Il retourna alors chez le coiffeur et se mit à chanter ainsi :
« Coiffeur, coiffeur, rends moi mes cheveux,
   Coiffeur, coiffeur, rends moi mes cheveux,
   Mes cheveux que tu m’as si mal coiffés me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont          reçu de leurs parents qui l’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il chanta encore et encore ce refrain au coiffeur. Le coiffeur lui expliqua qu’il ne pouvait lui remplacer ses cheveux et qu’il devrait patienter un moment pour qu’ils repoussent et pour le calmer, il lui offrit une très belle canne.
Il prit donc la canne et s’en alla. Chemin faisant, il croisa sur son chemin un grand arbre, chargé de fruit qui s’appelle Kôh. Voulant cueillir les fruits, il lança sa canne et celle-ci resta accrochée à l’une des branches de l’arbre. Il tenta en vain de faire tomber la canne sans y parvenir. Découragé, il s’assit au pied de l’arbre et se mit à pleurer en chantant ce refrain :
« Kôh, Kôh, rends moi ma canne,
   Kôh, Kôh, rends moi ma canne,
   Cette canne me vient du coiffeur qui m’a prit mes cheveux
   Mes cheveux me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont reçu de leurs parents qui l’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il chanta longtemps ce refrain jusqu’à ce qu’un oiseau descende d’une branche de l’arbre et vienne se poser sur ses épaules. Il se leva et reprit son chemin avec son oiseau, reçu en échange de la canne.
Au bout du chemin, il vit la mer qu’on appelle Issa très médusé, Boni lui dit :
-         chère Issa, peux-tu veiller un instant sur mon oiseau le temps que j’aille me baigner ?
Il déposa l’oiseau sur la plage et partit se baigner ; à son retour, il se rendit compte que l’oiseau s’était envolé. Enervé, il s’assit sur la plage et se mit à chanter à Issa la mer :
«  Issa, Issa, rends moi mon oiseau,
    Issa, Issa, rends moi mon oiseau,
    L’oiseau me vient de Kôh l’arbre qui m’a prit ma canne,
    La canne me provient du coiffeur qui m’a prit mes cheveux,
    Mes cheveux me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont reçu de leurs parents qui
    L’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il chanta plusieurs fois ce refrain jusqu’à ce que Issa la mer décide de lui offrir un gros poisson pour remplacer l’oiseau envolé. Il repartit avec son poisson et après quelques heures de marche, il vit des enfants qui jouaient avec de la braise. Il leur dit :
-         bonjour chers amis ; puis-je vous confier mon poisson le temps d’aller faire une petite promenade ?
Les enfants acceptèrent de bonne grâce. A son départ, ils firent cuire le poisson et le mangèrent entièrement. Quand Boni revint, il se rendit compte que son poisson avait disparu. Les enfants lui expliquèrent qu’un chat était passé le voler à leur insu. Triste, il s’assit à leur côté et se mit à leur dire :
« Chers amis, chers amis, rendez-moi mon poisson,
   Chers amis, chers amis, rendez-moi mon poisson,
   Ce poisson, je l’ai eu de Issa la mer qui m’a prit mon oiseau
    L’oiseau me vient de Kôh l’arbre qui m’a prit ma canne,
    La canne me provient du coiffeur qui m’a prit mes cheveux,
    Mes cheveux me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont reçu de leurs parents qui
    L’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il répéta encore et encore ce refrain jusqu’à ce que les enfants, lassés de l’entendre, lui offrent une houe pour réparer leur faute. Il prit la houe et s’en alla de son côté. Dans un champ, il vit un homme sarclait la terre avec un vieux bol émaillé. Il lui dit :
-         vieux père, que faites-vous là ? vous vous donner beaucoup de peine ; tenez, je vous prête ma houe le temps d’une promenade ; à mon retour, je le reprendrai.
Quand il partit se promener, le vieil homme se rendit compte que la houe sarclait beaucoup plus facilement et qu’il avançait considérablement dans son travail. Il décida alors de la cacher parmi les mauvaises herbes et quand Boni revint, il lui dit qu’elle s’était brisée et qu’il a dû la jeter. Tout malheureux d’avoir une fois encore perdu son bien, Boni s’assit sur une botte de terre et se mit à chanter au vieil homme :
«  Vieux père, vieux père, rends moi ma houe,
   Vieux père, vieux père, rends moi ma houe,
    Cette houe m’a été donné par des enfants qui m’on pris mon poisson,
    Ce poisson, je l’ai eu de Issa la mer qui m’a prit mon oiseau
    L’oiseau me vient de Kôh l’arbre qui m’a prit ma canne,
    La canne me provient du coiffeur qui m’a prit mes cheveux,
    Mes cheveux me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont reçu de leurs parents qui
    L’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il chanta encore et encore ce refrain et quand le vieux se fatigua de lui, il lui donna en compensation de la houe, un peu de mil.
Il accepta le mil et partit le long du chemin ; quelques pâtés de maisons plus loin, il vit une jeune maman qui donnait à manger au bébé ; la bouillie de cette dernière était faite à base de cendre délayée. Pris de pitié pour le pauvre enfant, il dit à la dame :
-         petite mère, que donnes-tu là à cette chère enfant ? Tiens un peu de mil et fais en une bouillie à ce bébé ; il reprendra plus de forme ; je te laisse mon colis de mil le temps d’une petite promenade. Elle prit le mil et en fit une bouillie au bébé. A son retour, il réalisa qu’elle avait utilisé tout le mil. Très fâché, il reprit sa chanson :
« Petite mère, petite mère, rends moi mon mil,
   Petite mère, petite mère, rends moi mon mil,
   Ce mil m’a été donné par le vieux père qui m’a brisé ma houe,
   Cette houe m’a été donné par des enfants qui m’on pris mon poisson,
   Ce poisson, je l’ai eu de Issa la mer qui m’a prit mon oiseau
   L’oiseau me vient de Kôh l’arbre qui m’a prit ma canne,
   La canne me provient du coiffeur qui m’a prit mes cheveux,
   Mes cheveux me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont reçu de leurs parents qui
   L’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il reprit plusieurs fois cette chanson jusqu’à ce que la jeune maman lui offre du beurre de karité. Plus loin, il vit Fâh le rocher.
-         Fâh, peux tu me garder mon beurre de karité le temps que j’aille voir de la famille à coté ?
Il déposa son beurre de karité sur le rocher et partit. Le soleil était alors au zénith et dardait ses rayons sur la terre. Le beurre de karité se ramollit et se dissout complètement au soleil. Quand Boni constata à son retour qu’il y avait plus de beurre de karité, il dit alors au rocher :
« Fâh, Fâh, rends moi mon beurre de karité,
   Fâh, Fâh, rends moi mon beurre de karité,
   Ce beurre m’a été donné par la jeune maman qui m’a prit mon mil,
   Ce mil m’a été donné par le vieux père qui m’a brisé ma houe,
   Cette houe m’a été donné par des enfants qui m’on pris mon poisson,
   Ce poisson, je l’ai eu de Issa la mer qui m’a prit mon oiseau
   L’oiseau me vient de Kôh l’arbre qui m’a prit ma canne,
   La canne me provient du coiffeur qui m’a prit mes cheveux,
   Mes cheveux me viennent de mon père, de ma mère, qui eux l’ont reçu de leurs parents qui
   L’ont hérité de mes aïeux, qui l’ont eu de mes ancêtres. »
Il reprit, reprit cette même chanson sans rien avoir en retour du rocher ;
Enervé, il alla chercher un fouet et frappa de toutes ses forces le rocher mais n’obtient rien en retour. Fatigué, il s’en alla chez lui raconter ses mésaventures à ses parents.
Son papa lui répondit :
« Mon fils, si tu étais venu immédiatement te coiffer quand je te l’avais demandé, tu n’aurais pas eu tous ces malheurs. »
Il faut toujours obéir à ses parents.
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  • : Je suis une jeune africaine qui possede une petite chose qu'elle desire partager; cette chose résonne dans son coeur depuis longtemps; cette chose cherche à se faire entendre de tous; ici je veux délibérer cette voix qui me m'enchante et la partager avec vous....
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